jeudi 23 avril 2009

La vie voyage en nous tous !

Si comme moi vous aimez les contes, je vous suggère un livre écrit par Jacques Salomé qui s’intitule « Contes à aimer Contes à s’aimer », rempli d’histoires avec de belles règles de conduite. qui font du bien à l'âme et remontent le moral quand nous en avons besoin. Peut-être devrions-nous nous arrêter pour prendre le temps de regarder le temps qui passe, car dans le moment présent, il est très rare que quelque chose nous menace. Les menaces viennent trop souvent des choses que nous anticipons. La plupart du temps notre créativité n'est même pas assez développée pour prévoir la fin d'un chapitre de notre vie, qui souvent se termine encore mieux qu'on avait préalablement pu imaginer.



Voici une petite histoire qui m'a fait réfléchir et que j’ai voulu partager avec vous tous. Je n’ai pas écrit personnellement cette histoire, mais la morale qui en découle en est une qu’il faudrait entendre, comprendre et intégrer. Les fables et les histoires m’inspirent autant que la bible pour la morale qu’on peut en tirer. Donc, la prochaine fois que vous entendrez dire qu'une de vos connaissances est aux prises avec un problème qui ne vous concerne pas, souvenez-vous de la trappe à souris. Lorsqu'un des nôtres est menacé, nous sommes tous en danger. Nous sommes tous impliqués dans ce voyage qu'on appelle la vie. Ayons l'œil ouvert sur nos proches, sur notre environnement et sur les problèmes sociaux et faisons un effort pour nous encourager mutuellement.

Une souris regardait un jour à travers un trou dans un mur. Elle vit un paysan et sa femme en train de déballer un paquet. Quelle nourriture pouvait-il bien contenir ? Mais quelle ne fut pas sa surprise de découvrir qu'il s'agissait d'une trappe à souris. Fuyant vers l'arrière de la ferme, la souris criait de tous côtés : « il y a une trappe à souris dans la maison, une trappe à souris dans la maison ! ». Le poulet leva la tête, se gratta et dit : « excusez-moi, Madame Souris, je me rends bien compte que c'est une grande inquiétude pour vous, mais cela ne me regarde pas. Que voulez-vous que j'en fasse ? ». La souris se tourna alors vers le cochon. « Oh, je suis désolé Madame Souris, la seule chose que je peux faire pour vous est de prier. Soyez assurée que je vous porte dans mes prières ». La souris se tourna enfin vers le bœuf. Celui-ci se moquait de la souris : « Oh là là, Madame Souris, mais c'est terrible, une trappe à souris ! Mais je suis gravement en danger, n'est-ce pas ? ». Finalement, la souris se décida d'affronter la trappe à souris seule. Dans la nuit, on entendit un bruit dans la maison qui ressemblait à celui d'une trappe à souris se refermant sur une souris. La femme du paysan s'en alla voir ce qui avait été pris. Dans la nuit, elle ne vit malheureusement pas le serpent venimeux dont le bout de la queue avait été pris dans la trappe. Le serpent mordit la femme du paysan. On dut partir à l'hôpital. La femme revint avec de la fièvre. Or, comme tout le monde le sait, il est fortement conseillé de faire boire à quelqu'un qui a de la fièvre une bonne soupe au poulet. Le paysan prit donc sa hache et coupa le cou du poulet. Malheureusement, la maladie continua et beaucoup de gens vinrent pour garder la malade. Le paysan dut tuer son cochon pour nourrir tout le monde. Finalement, la femme mourut et le paysan dut abattre son bœuf pour nourrir les personnes venues pour l'enterrement.

Auteur inconnu

Bonne journée

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