jeudi 17 septembre 2009

Que faire quand l’aboutissement n’a pas rendez-vous avec la chance?


« Vous saurez que le chemin qui s’ouvre devant vous est le vôtre, car vous aurez soudain toute l’énergie et toute l’imagination dont vous pourriez jamais avoir besoin.»
- Jerry Gillies







J’avais l’espoir de décrocher un poste d’intervenante budgétaire et que ceci me propulserait vers une carrière communautaire au service des autres. Bien que l’entrevue se soit très bien passée, que j’aie été satisfaite de ma performance et que ma volonté fut absolue, un comité de sélection a jugé qu’une autre candidate était plus apte à effectuer le travail paraît-il à cause d’une plus grande expérience. Vous dire que la déception n’est pas grande serait vous mentir. Mais que peut-on faire d’autre que de continuer son cheminement? Nous sommes tous un peu à la merci du destin. Par contre, je crois dur comme fer que nous ne sommes jamais là où nous ne devrions pas être.

Écrire mes billets sur ce blogue est à peu près ce qui m’a procuré le plus de plaisir et de satisfaction depuis longtemps. Or, hier c’est un appel de dernière minute d’une amie aussi passionnée que moi par l’écriture qui m’invitait à m’inscrire avec elle à un cours de rédaction offert par l’U.Q.T.R. Dernière minute est peu dire puisque le cours commence aujourd’hui et qu’il fallait avoir fait notre inscription dans les heures qui suivaient! Ce cours fait partie d’un certificat en rédaction. Ma décision ne fut pas difficile à prendre. Mais l’hésitation que je ressens aujourd’hui est probablement parce que je ne vois pas où mènera le chemin que j’emprunte. J’ai certainement une facilité pour l’écriture. J’aime raconter, donner mon opinion, analyser, décortiquer. Il existe aussi des gens qui gagnent assez bien leur vie avec leur plume (ou leur clavier). Alors pourquoi ne serais-je pas parmi une de ces personnes?

Alors, ce soir j’emprunte de nouveau le chemin des bancs d’école pour acquérir des outils afin de développer un talent que je semble déjà possédé. Je ne vois pas l’aboutissement de ce côté-là, mais qui sait. L’histoire est à suivre….

En attendant je ne vous laisse pas tomber, vous pourrez continuer à lire mes états d’âme et les aventures de Tarzan et Jane.

lundi 14 septembre 2009

Opération Escargot…protestations contre qui?

« La véritable noblesse ne consiste pas à être meilleur qu’un autre. C’est plutôt d’arriver à être meilleur que vous étiez! »
- Dr. Wayne W. Dyer

D’après LCN, c’est la quatorzième (14ième) fois que des motocyclistes se mobilisent et bloquent la circulation pour protester contre la hausse du coût des permis. Que l’on soit pour ou contre, c’est la quatorzième journée que des innocents citoyens, qui eux aussi paient leur permis de conduire, sont pris en otage dans la circulation durant une fin de semaine. Pour la plupart, ces motocyclistes pratiquent ce moyen de transport la fin de semaine. Je comprends qu’il devienne presqu’un luxe de conduire ce genre de véhicule…Mais!!! Mais….sont-ils conscients de l’impact de leur petite balade du samedi en périphérie, sur les ponts et en plein centre-ville? Eux vous diront qu’ils ne font rien de mal que de rouler au minimum de vitesse permise. Leurs arguments sont sans but pour monsieur et madame tout le monde qui sont dans l’obligation de se payer le trafic à la semaine longue. Cet été, ce fut encore plus difficile puisqu’il n’existe pas un coin de rue où il n’y a pas de trou, des cônes oranges, des artères déviées ou simplement une rue barrée à cause d’un festival, d’un marathon, du tour de l’île des cyclistes, d’un édifice dangereux, d’un bris de conduite d’eau, d’un carambolage, d’une panne mécanique, d’une fermeture d’un pont parce que quelqu’un est à bout des injustices et veut en finir et parfois même toutes ces raisons à la fois! Êtes-vous obligés d’en rajouter pour aiguiser notre patience? Manquez-vous à ce point de créativité qu’il faille faire payer les innocents?

Dans chacune des voitures derrière votre parade, il y a une histoire propre à chacun. Que ce soit parce qu’une personne doive se rendre à son deuxième emploi de fin de semaine nécessaire pour boucler un budget ou la maman qui doive visiter son enfant à l’hôpital. Que ce soit une famille qui ait décidé de faire une balade ou une ambulance avec une personne en manque de soin, chacune des voitures a son histoire. Vous pouvez être certains que chacun des conducteurs paient cher pour avoir le privilège de posséder sa voiture, son permis et ses assurances. Si chacun d’entre nous mobilisent ses amis pour protester contre les injustices d’une manière à faire suer les autres, nous serons cuits!

Je ne suis pas pour la hausse des prix nulle part! Ni pour les permis de motocyclette, ni pour les permis de voiture, ni pour les frais scolaires, ni pour les taxes, ni pour les frais de bibliothèque, ni pour les hausses du coût des passes d’autobus, ni pour les hausses du coût du lait!

Une des histoires se situe dans une Dodge Caravan qui dans laquelle Tarzan part, le matin plus souvent qu’autrement avant six heures, de la banlieue est pour traverser la ville au complet, emprunter l’autoroute 20 et traverser l’échangeur Turcot afin de gagner le pain quotidien de sa famille. C’est une longue route où il croise souvent des gens peu courtois. Se faire couper par des gens au cellulaire, se faire montrer des majeurs, côtoyer des poids lourds, traverser des quartiers où on redirige la circulation parce que les citoyens se sont plaints que ça dérange, qu’ils préfèrent que la rue soit fermée afin de pouvoir s’asseoir tranquillement sur une terrasse au lieu de laisser les pauvres gens libres d’aller au travail par tous les chemins, c’est le lot quotidien de ce que Tarzan subit quotidiennement deux fois par jour, beau temps, mauvais temps.

Que vous preniez le ministre des transports en otage, je n’en aurais rien à cirer. Mais que vous preniez des citoyens qui paient déjà assez cher pour l’état de nos routes m’interpelle personnellement puisque si vous pensez que vous êtes les seules pauvres victimes, je voulais remettre les pendules à l’heure. De plus, juste pour votre information, sur notre compte de taxes de la banlieue est, nous avons une surtaxe de la belle ville de Montréal pour aider à payer leurs autoroutes étant donné qu’il nous faut passer par là pour aller dépenser notre argent dans la grande ville. Que diriez-vous si nous décidions de mobiliser les citoyens de notre belle banlieue, pour bloquer les ponts? Voyez-vous que ça n’a pas de bon sens?

Un conseil….pourquoi ne pas sortir vos rutilantes motos et protester en pleine heure de pointe durant la semaine! Mon idée est que vous auriez l’occasion de parader encore plus lentement que la vitesse permise! Malheureusement, il n’est pas rare que quand ça arrive, on voit certains d’entre vous manquer de patience et se faufiler dans la voie de l’accotement!

Tarzan mérite une mention pour sa patience!!!

vendredi 11 septembre 2009

Mieux vaut en rire! La réalité scolaire de 2009

Depuis tout ce temps où vous écoutez mes doléances en rapport à la réalité scolaire d'aujourd'hui, c'est la première fois que j'aie trouvé l'inspiration pour en rire. Si vous l'avez manqué, je le partage avec vous. Ridicule, vous pensez? Oui, mais tout à fait réel.

Brin de sagesse

Trois singes de sagesse

Ce texte a été écrit par Regina Brett, une écrivaine américaine, âgée de 53 ans et auteure d’une chronique pour le journal The Plain Dealer, de Cleveland en Ohio. Je l’ai traduit pour le contenu de la simplicité de sa sagesse.


L’original peut cependant être consulté en cliquant sur le lien suivant :
http://www.cleveland.com/brett/blog/index.ssf/2006/05/regina_bretts_45_life_lessons.html

Contrairement à ce qui se partage présentement sur internet, Madame Brett n’a pas 90 ans, mais bien 53! Elle en a même écrit un billet au sujet de cette rumeur sur son âge. Il faut croire qu’internet est à l’image du jeu du téléphone.

1. La vie n’est jamais juste, mais elle est toujours bonne.
2. Lors de remise en question, ne faites que le prochain petit pas.
3. La vie est trop courte pour perdre du temps à détester quelqu’un.
4. Ne vous prenez pas au sérieux. Personne d’autre ne le fait.
5. Réglez le solde de vos cartes de crédit à chaque mois.
6. Vous n’avez pas besoin de gagner chaque débat. Soyez d’accord d’être en désaccord.
7. Pleurer avec quelqu’un est plus soulageant que de pleurer seul.
8. Donnez-vous le droit d’être fâché contre Dieu. Il peut le prendre.
9. Économisez pour votre retraite à partir de votre première paye.
10. Quand on parle de chocolat, lui résister est inutile.
11. Faites la paix avec le passé pour qu’il ne détruise pas votre présent.
12. Il n’y a pas de mal à laisser vos enfants vous voir pleurer.
13. Ne comparez pas votre vie à celle des autres. Vous n’avez aucune idée de leur parcours.
14. Si une relation doit être tenue secrète. Vous ne devriez pas en faire partie.
15. Tout peut changer en un clin d’œil. Mais ne vous en faites pas; Dieu ne cligne pas des yeux.
16. La vie est trop courte pour de longues séances d’apitoiement. Occupez-vous à vivre ou occupez-vous à mourir.
17. Vous pouvez vous sortir de n’importe quelle situation en vous cramponnant au moment présent.
18. Un écrivain écrit. Si vous voulez devenir écrivain, écrivez.
19. Il n’est jamais trop tard pour avoir une enfance heureuse. Par contre, vous êtes le seul responsable de la deuxième.
20. Quand on parle de poursuivre ses rêves, n’acceptez jamais une réponse négative.
21. Brûlez les chandelles, servez-vous de vos beaux draps, portez vos beaux dessous. Ne les gardez pas pour une occasion spéciale. Aujourd’hui est spécial.
22. Prenez le temps de planifier, ensuite suivez le courant.
23. Faites preuve d’excentricité maintenant. N’attendez pas d’être vieux pour porter du violet.
24. Le plus important organe sexuel est le cerveau.
25. Vous êtes la seule personne en charge de votre bonheur.
26. Boucle les mauvais moments avec ces mots « Dans cinq ans, qu’est-ce que ça pourra bien faire? »
27. Choisissez toujours la vie.
28. Pardonnez tout à tous.
29. Ce que les autres pensent de vous ne vous concerne pas.
30. Le temps arrange les choses. Laissez du temps au temps.
31. Peu importe notre manière de juger une situation, bonne ou mauvaise, elle va changer.
32. Votre travail ne s’occupera pas de vous en cas de maladie. Ce sera probablement vos amis et votre parenté. Ne les perdez pas de vue.
33. Il faut croire aux miracles.
34. Dieu vous aime à cause de qui il est, non pas à cause de ce que vous avez fait ou n’avez pas fait.
35. Tout ce qui ne vous tue pas, vous fait vraiment grandir.
36. Vieillir est le meilleur alternatif à son contraire – mourir jeune.
37. Vos enfants n’auront l’occasion de vivre qu’une seule enfance. Offez-en une dont ils se souviendront.
38. Lisez les psaumes, ils couvrent chacune des émotions.
39. Sortez chaque jour. Il y a des miracles qui attendent partout.
40. S’il nous était possible de jeter nos problèmes dans un tas collectif, et avoir l’occasion de voir ceux des autres, nous reprendrions les nôtres avec bonheur.
41. N’analysez pas la vie. Vivez là et profitez de ce qu’elle a de mieux à offrir.
42. Débarrassez-vous de tout ce qui n’est pas pratique, beau ou qui n’apporte aucune joie.
43. Le plus important à la fin aura été d’avoir aimé.
44. L’envie est une perte de temps. Vous possédez déjà tout ce dont vous avez besoin.
45. Le meilleur reste à venir.
46. Peu importe comment vous vous sentez, levez-vous, habillez-vous et présentez-vous.
47. Prenez une respiration profonde, ça calme l’esprit.
48. Si vous ne le demandez pas, vous ne le recevrez jamais.
49. Cédez.
50. La vie ne nous est pas présentée avec une boucle, mais c’est quand même un cadeau.


lundi 7 septembre 2009

Chance ou aboutissement?




Se peut-il qu’en cours d’une vie se présente plus d’une occasion de pouvoir prendre toutes nos expériences acquises, les formations suivies, les conférences entendues et les lectures accumulées et avoir la possibilité d’en faire un métier au service des autres? Lorsque nous traversons une période moins positive, il nous est difficile de rester optimiste face à l’avenir. Ne sommes-nous pas nos pires ennemis à cause de notre manque de foi? Est-ce de la chance ou simplement un aboutissement?

Je suis tout excitée de vous raconter qu’au cours de l’été je suis tombée sur une offre d’emploi qui me semblait trop belle pour être vraie. J’ai finalement compris que toutes les petites choses que je faisais quotidiennement, dans le confort de mon foyer, pouvaient effectivement servir à aider quelqu’un. J’ai aussi étudié dans différents domaines où, me semblait-il, aucune corrélation n’était possible. Et pourtant…un poste d’intervenant budgétaire s’est affiché sur un des nombreux sites que je visite quotidiennement. J’ai sursauté sachant d’emblée que ce poste était fait sur mesure pour moi. Je n’ai ressenti aucune nervosité quant à mes capacités de combler ce poste. Dix années d’une vie à s’occuper de ses enfants et à conjuguer avec un seul salaire ne font-elles pas de moi une experte en maintenance de budget familial équilibré? Un diplôme en intervention psychosociale qui m’a préparée à l’animation, à l’écoute, à l’intervention de crise et m’a outillée pour comprendre la dynamique de la toxicomanie, n’est-il pas précieux? Plus de deux ans dans un bureau de notaire à traiter d’hypothèques, de testaments et de successions ne sont-ils pas des connaissances sans prix? Que dire d’un D.E.P. en comptabilité qui m’a aussi apporté une compréhension plus poussée des finances!

J’ai fait des mains et des pieds, alors que Tarzan et moi avons pris la décision qu’un de nous resterait auprès de nos précieux singes, pour équilibrer un budget. J’en ai vécu des moments d’angoisse où je croyais qu’il était inutile d’alerter l’autre conjoint qui faisait déjà son possible. Se peut-il que chacun des moments d’angoisse n’ait été que de l’expérience acquise? Chaque action entreprise était dans le but de faire économiser notre ménage. J’ai suivi des cours de coiffure et des cours de couture. J’ai aussi assisté à des ateliers de cuisine. Nous avons rénové nous-mêmes. Nous avons construit et détruit. Lorsque je jette un regard sur la créativité de mes accomplissements, je n’ai que des félicitations à m’offrir. Aussi, le fait d’avoir passé par-dessus mes peurs d’écrire, d’être lue et de pouvoir publier sur un blogue sont les accomplissements dont je suis le plus fière.

Se pointe vers moi la possibilité d’une entrevue pour ce poste qui me sied à ravir. Ce poste demande des habiletés d’écriture. Peut-être aurez-vous un lien professionnel d’ici peu où je pourrai produire une chronique sur les finances familiales? Je vous le souhaite autant qu’à moi et ce, sans prétention! Vous êtes nombreux à m’encourager à m’élever et vous êtes très précieux pour moi. En attendant, je me prépare mentalement et intellectuellement à vendre ma salade. Je garde la foi que personne n’est plus compétente pour ce poste que moi et je n’aurai pas de difficulté à convaincre un comité de sélection.

mercredi 2 septembre 2009

Nouveau métier, vendeuse de « Guenilles »??


De secrétaire juridique, voici que j’essaie un nouveau métier, celui de vendeuse. Vous aurez deviné que c’est dans une boutique de vêtements pour dame. Le terme « guenille » est revenu à plusieurs reprises dans ma journée car il semblerait qu’il est employé couramment dans ce métier. Personnellement, ça m’a un peu fait sourire. C’est beaucoup de choses à retenir en une seule journée. J’ai appris le maniement d’une caisse enregistreuse passée date. Un genre de dinosaure qui imprime ses rapports sur une imprimante à bretelle. Moi qui croyais que ce genre d’imprimante était en voie de disparition! De grâce, inutile d’essayer de sauver ces spécimens! Laissez-les s’éteindre dans un musée de science quelque part! On m’a aussi remémoré certaines techniques de vente à pression que je connaissais déjà parce qu’on me les a déjà servies lorsque mon rôle était celui de cliente. Comme je n’appréciais guère ces techniques, disons que je ne suis pas complètement à l’aise de m’en servir. Celles-ci fonctionnent sans doute avec une cliente qui ne sait pas ce qu’elle cherche. Mais pour celles qui savent ce dont elles veulent, inutile d’insister sans prendre la chance de se faire virer de bord et pas toujours cavalièrement. J’imagine que ça ne dérange pas du tout une vraie vendeuse! Il faut dire que l’enseignement d’une intervenante est basé sur la confiance en l’intelligence de son client. Il m’est difficile de changer cette mentalité. Il me faudra donc mettre de côté certains principes qui me tiennent à cœur si je veux évoluer dans ce domaine.

Cependant, je pense avoir l’intuition assez développée en ce qui a trait au genre de personne que j’ai en face de moi. Hier, une dame s’est présentée à la boutique et a essayé des vêtements pendant au moins deux heures. Elle a enlevé, puis remis plusieurs fois les morceaux qu’elle pensait lui aller le mieux. Le moins qu’on puisse dire, c’est que cette dame savait exactement ce qui lui allait bien et ce qu’elle aimait et n’aimait pas. Elle n’aurait jamais accepté de vente sous pression, mais était par contre disposée à essayer de nouvelles choses. J’ai commencé par écouter ses goûts pour ne pas revenir avec des pièces qu’elle n’aurait pas appréciées. Deux heures plus tard, elle a acheté deux pièces de vêtements. De plus, elle a répété à la superviseure le compliment qu’elle m’avait fait comme quoi elle avait apprécié ma technique de vente basée sur le respect. Deux minutes plus tard, la superviseure me reprochait de ne pas lui avoir proposé de bijoux. Le pire c’est qu’en cours de vente, j’avais réussi à savoir que cette dame n’appréciait pas les bijoux et n’en portait pas. Elle se fiait sur la beauté de son décolleté pour attirer les regards.

Combien de temps vais-je porter le titre de « vendeuse »? Je ne saurais vous dire. J’apprécie vraiment le contact avec le public. Je n’aurais eu aucun problème à apprendre la caisse si ce n’était que, encore une fois, mon apprentissage a été fait par osmose (se planter à côté de quelqu’un et espérer qu’en l’observant,ses connaissances vont se transférer dans mon cerveau et que celui-ci va retenir toutes les informations). D’ici samedi, il me faudra tout de même l’avoir maîtrisée puisqu’il semble que je serai déjà toute seule. De plus, j’ai trouvé qu’une petite demi-heure pour dîner pour quelqu’un qui passe huit heures debout, c’était peu. Insuffisant pour se reposer les pieds et les jambes.



Le pire qui puisse arriver dans l’incursion du domaine de la vente, c’est qu’il m’arrivera d’apprécier beaucoup plus les vendeuses qui gagnent un salaire minimum et qui travaillent debout à courir des vêtements pour des clientes pas toujours respectueuses.